Au milieu du XVIe siècle, les ruines sont réparées : on embellit les églises et on reconstruit ;
La population retrouve le niveau atteint au XIVe siècle.
Dans son recueil des Antiquités et singularités de la ville de Pontoise, le moine Noël Taillepied précise que :
“Le pays de Velquecin a chair et poisson, terre et eau, bleds et vignes, bois et prés, étangs et rivières, petites montages et doulces vallées, chaux et plastre, pierres et briques, villes et châteaux, nobles et paysans, hommes en grand nombre et plusieurs espèces d’animaux ; bref, il n’y a pays au monde plus commode à l’entretennement de la vie humaine, tant pour la sérénité de l’air que pour l’abondance des vivres qui y sont quand il court bon temps“.
Cette période faste fût interrompue par les guerres de religion qui semèrent à nouveau la terreur et la désolation.
Du XVIe siècle au XVIIIe siècle
Après la victoire d’Henri IV, le Vexin se reconstruit. Les villages sont rebâtis, malgré les épidémies successives de peste, et les mauvaises récoltes dues aux catastrophes naturelles.